Falon est une jeune femme très attachante qui, toute sa vie, va essayer d'établir un équilibre entre les deux grandes tendances qui composent son caractère : son côté passionné et son profond sens du dévouement.

Extravertie, toujours tournée vers le monde extérieur, Falon ne laisse jamais passer une occasion de rendre service et de se dévouer pour les autres. Elle possède un fort sens de l'honneur et est très peu influençable.

Très objective, Falon est capable de se donner à fond dans son travail en tant qu'opératrice du centre d'appel du 911 pour rendre justice à ceux qui en ont besoin ou demandent son aide. Mais attention, elle a horreur d'être trompée ou dupée.

Falon a une forte confiance en elle lorsqu'elle a une mission précise à accomplir ; sinon, elle retourne à sa timidité nerveuse. Elle possède une moralité exceptionnelle et cherche des excuses aux erreurs des autres tout en ne se pardonnant rien à elle-même.

Intuitive mais méfiante, Falon préfère agir selon ses propres raisons, tirées de sa propre philosophie et de son code d'honneur. Il faut avouer que son instinct ne l'a jamais conduite vers un mauvais choix jusqu'à présent.

Extrêmement émotive, ce qui la rend très nerveuse, Falon réussit néanmoins à sublimer cette émotivité en la canalisant vers une activité dévorante et passionnante. Cela lui permet de rester parfaitement maîtresse d'elle-même en toutes occasions, alors qu'on pourrait croire qu'avec une telle émotivité et une volonté, elle pourrait voler en éclat.

Elle a un véritable sens de l'amitié et, pour elle, rien de mieux que de pouvoir illuminer une âme dans la tristesse ou la solitude. Son intelligence lui permet de prendre rapidement conscience de l'ensemble des problèmes et de faire face à des situations souvent impossibles à démêler.

C'est une demoiselle curieuse, mais d'une curiosité saine. Elle possède aussi une très bonne mémoire. Falon n'est pas du tout égoïste et porte une attention toute particulière envers les autres.

Bien qu'elle bénéficie d'une puissante capacité de séduction, elle ne cherche en aucun cas à charmer les autres. (Attention passage réservé à celui qui deviendra son âme sœur) Mais si, au contraire, vous parvenez à faire fondre son petit cœur, il se pourrait qu'elle vous charme, mais avec des armes différentes de celles des autres femmes.

C'est aussi une demoiselle loyale et fidèle, que ce soit envers ses amis, sa famille, ou en amour. Pour couronner le tout, c'est une personne qui réchauffe et illumine le cœur de son entourage, un véritable petit rayon de soleil en somme.

Un sourire éblouit par son premier baiser. Un homme et une femme se promènent main dans la main sur la plage les pieds dans l'eau. Ce n'était pas, une nuit comme les autres parce que pour ces deux-là, c'était leur première fois, leur premier amour. Ils se sont aimés et gravé ce souvenir dans leur mémoire. Puis quelques années plus tard, ils s'unissent devant leurs parents et amies et se sont dit oui pour la vie. Lui était militaire, elle était infirmière. Ils se sont aimés dès le premier regard. Un an après leur mariage, ils apprennaient une bonne nouvelle, la femme porte le fruit de leur amour. Ils sont les plus heureux au monde, mais comme tout le monde le sait, il y a toujours une petite ombre qui aime se montrer de temps en temps et perturbes la vie. L'ombre, c'est la guerre. Le jeune homme est donc obligé d'y aller, de laisser sa douce qui porte la vie. Cet homme part le cœur rempli de souvenir avec une envie de revenir. Hélas son souhait ne fut pas exaucé et il mourut.

La vie est ainsi faite et on n'y peut rien. La peine au cœur, elle garde cependant une grande force pour laisser vivre cet enfant qui grandit en elle, preuve de leur amour. Par une belle nuit étoilée, la voilà partis à la maternité pour mettre au monde son enfant tant attendu. Dans la chambre éclairée par les rayons de la lune après de longues heures de travail, elle sourit à un ange bercé dans ses yeux au regard identique à celui de l'homme qu'elle a aimé et doucement la femme murmure à l'oreille de sa princesse " Sache que je t'aime aussi fort que l'amour que te porte ton père, il n'est pas la hélas pour t'admirer comme je le fais mais il peut te voir et j'en suis certaine à travers moi, parce qu'il est là dans mon cœur. "

C'est mon histoire préférée, l'histoire que me raconte ma mère quand je lui demande de parler de mon père. Je n’ai pas connu mon père, c'est vrai, mais je ne suis pas malheureuse pour autant.

Ma mère est une femme merveilleuse, elle a arrêté de travailler pour s'occuper de moi. J'ai grandi avec beaucoup d'amour.

Puis, l'amour à de nouveau frapper à sa porte, il lui a fallu du temps pour réapprendre à aimer. J'avais trois ans quand j'ai eu un nouveau papa et une sœur qui avait le même âge que moi et ce qui est incroyable, c'est qu'ils avaient une histoire un peu similaire à la nôtre.

Il m'a aimé toute suite, elle aussi et c'est ainsi que j'ai eu une famille et un nouveau papa pour me donner l'amour paternel que je n'ai pu avoir parce que la vie l'a décidé ainsi. Bien que je sois heureuse et bien épanouie, je connais la vérité que je ne suis pas sa fille, mais cela ne change rien à l'amour que je peux lire dans son regard. C'est exactement le même que celui qu'a ma mère a quand elle me regardes ou encore quand elle regarde ma sœur. Peu importe que l'on est une famille recomposée, l'amour est là et c’est ce qui comptent le plus.

Je ne manque de rien et j'ai une sœur formidable avec qui je fais les quatre cents coups, nous sommes même devenues inséparables.

Nous avons les mêmes passions et nous avons décidé de faire les mêmes études. Depuis gamines, on a toujours aimé bricoler, démonter, remonter tout ce qui nous arrivait en mains. J'ai commencé à adorer les ordinateurs, d'ailleurs le premier que nous avions eu, ma sœur et moi étaient un vieux machin qu'on a construit avec des pièces détachées qu'on chipait à l'école dans les poubelles. La ferraille en quelque sorte, bien sûr pour nous ce n'étaient pas vraiment du vol étant donné que nous prenions les pièces qui se trouvent dans les ordures. Quand on est jeune, on ne voit pas le monde de la même façon qu'un adulte. Je ne veux pas dire que nous ne faisons pas la différence entre le mal et le bien. Non, ce n'était pas ça, c'était bien autre chose.

Doucement, j'ai appris en sa compagnie a aimé l'informatique, tout ce qui tournait autour des codes, le monde cyber était quelque chose de magique, de fabuleux. Je pense que je n'avais jamais vu quelque chose d'aussi beau. C'était un univers dans lequel je pouvais m'aventurer sans être jugé par les autres, sans avoir des gens autour de vous disant que ça est mieux que ça. Que moi, je suis meilleure que toi et bien d'autres choses que ces gens aiment dire pour rabaisser les autres.

Au début, c'était un jeu, enfin, c'était juste un endroit où je me sentais bien et que je partageais avec ma sœur. Puis, ce fut bien plus qu'un lieu d’évasion.

Le monde est souvent cruel avec ceux qui sont différents, bien qu'il ne faille pas nécessairement de la différence pour que quelqu'un se moque d'autrui et je dois dire que c'était un truc que moi et Larah avait en horreur. À croire que parfois, il ne suffisait pas que des élèves s'en prennent à un autre, les profs s'y mettent aussi. C'était horrible de voir ça sans rien faire. Ce ne fut pas notre cas, on a réagi et pour couronner le tout au lieu que cela cesse, nous étions devenues les victimes également avec un mot du prof. C'est à ce demander ou se trouve la justice dans tout ça ! Alors que j'étais puni dans ma chambre suite à ma réaction. Enfin, je n'étais pas seule, il y avait Larah avec moi. Nous étions inséparables, donc on commettait quasiment tous les faits ensemble. On a appris qu'une jeune fille avait failli se jeter du toit de l'école. Enfermé dans ma chambre, j'avais la rage. J'ai attendu que la fin des cours arrive et j'ai contacté la demoiselle avec l'aide de ma sœur. Elle était tout d'abord muette à nos appels, ensuite, elle a cédé et nous a raconté ce qui se passait et pourquoi elle avait voulu mettre fin à sa vie. La fautive à son mal-être était le harcèlement. Encore et toujours, peu importe qu'il soit moral ou physique ce n'est pas juste de s'en prendre à quelqu'un de la sorte. On a alors décidé de nous en occuper en se rebellant, essayant tant bien que mal à faire comprendre aux harceleurs le mal qu'ils faisaient, mais rien ne pouvait ne les atteindre en tous cas pas les moyens qu'on utilisait et en prime nous étions encore punis ce qui n'aidait pas du tout.

Je trouvais ça injuste, on défendait une victime avec les moyens du bord et le résultat était presque le même que si on avait rien fait. Sans oublier qu'on avait encore droit à des punitions encore et tout ça parce qu'on était pas d'accord avec ces gens qui aiment faire du mal. J'essayais de faire bouger les choses, de faire comprendre que c'était mal, mais apparemment, ils étaient aveugles et moi en retour j'avais droit à des blâmes. Tout ça était incompréhensible. Il fallait trouver autre chose, c'est ainsi qu'on décida de faire ce qu'on savait faire le mieux et d'utiliser nos dons pour la bonne cause, nous faire entendre, enfin ! Faire entendre les victimes plutôt, celle qui était touchée par l'injustice, par les insultes, celles qui ne pouvaient pas se défendre. Bien, je n'étais pas policier, ni juge ! Bien que j'aie essayé d'aller trouver la police pour leur expliquer, mais c'était notre parole contre l'école. Apparemment, l'argent efface presque tout et du coup les victimes, elles deviennent quoi dans tout ça. Rien ! Si, elles sont continuellement harcelées, elles ont peur, peur de parler, peur de sortir de chez eux et préfèrent du coup, se jeter du haut d'un pont ou encore devenir eux-mêmes les harceleurs qui prennent d'autres personnes comme victimes. Ce n'est pas correct, c'est y logique et immoral tout cela et il faut faire quelque chose. C'est ainsi que j'ai utilisé la meilleure des armes, le net.

Je sais que c'était aller contre la police, mais hélas, je ne voyais rien d'autre à faire puisque nous avions fait appel à eux et rien. Cela n'avait rien donné. Avec l'aide de ma sœur, on s'est mise à chercher des preuves, réunir tout ce qu'on pouvait afin de prouver nos dires, enfin plutôt les paroles de ceux qu'on défendait. Oui, parce que nous ne voulions pas oublier et continuer à nous battre pour tous ces pauvres victimes qui ne pouvaient pas sortir de l'ombre. C'est ainsi qu'un soir, sur le bureau du directeur ainsi qu'au bureau de police. Ils ont trouvé des enveloppes contenant des témoignages et des preuves des délits et enfin, les harceleurs, on put être punis. Les victimes étaient heureuses de pouvoir enfin se faire entendre et nous de notre côté nous étions contentes que nous eussions réussies.

Cependant, personne ne savait qui étaient derrière tout cela, je voulais que tout ça reste anonyme. C'était mon choix et celui de Larah également. Après cette histoire est tombée dans les oubliettes et nous avons continué notre vie habituelle. Bien que je n'oublie pas ce que j'avais fait pour aider ses gens et que si un jour cela recommençait, on avait notre arme de défense.

Alors que nous commencions à la grande école, de merveilleuses études. J'avais choisi de suivre une formation pour devenir enquêtrice de police, spécialisée en criminologie. Je ne sais pas trop si c'est moi qui l'ai suivie ou le contraire ! Mais bon soit, nous étions les seules filles dans une classe de machos. Des garçons qui se pensaient être mieux que les filles. Ils aimaient nous rappeler que nous n'étions pas à notre place, qu'une fille devait se trouver derrière les fourneaux et non derrière un bureau de police. Je m'en fichais, ou du moi, c'est ce que je fessais croire, pourtant je continuais de faire ce qui me plaisait et puis Larah était là. L'une défendait l'autre et ainsi de suite. Nous étions un tandem, des sœurs de cœur. C'était un lien bien plus fort que celui de simples sœurs. Peut-être qu'au fond, ces garçons n'aimaient pas trop voir que des filles étaient aussi bien capables qu'eux pour résoudre des affaires criminelles. Certains hommes sont ainsi, ils n'aiment pas que des filles leur montrent qu'ils ont tort. Je dois avouer que ce ne furent pas tous les jours faciles. Bien que pour eux aussi, on se vengeait avec notre arme les pauvres.

Pourtant ce n'est pas tout ça qui m'a poussée à devenir une nouvelle fois criminelle ! Oui, je savais qu'au fond, c'était mal de hacker ! Que faire justice, soit même était interdit, mais quand vous vous trouvez à la place de la victime et que vous avez utilisé la loi pour vous défendre et qu'à la fin vous êtes punie pour une chose que vous n'avez pas faite. Alors vous utilisez, les armes que le destin met dans vos mains et c'est ainsi que tout a commencé réellement pour  défendre notre père avec ce qu'on savait faire de mieux.

Mon père travaillait dans une boîte, c'était en Australie, là où j'ai fait une partie de mes études. Là, où ma mère a rencontré cet homme, il y a de cela 13 ans qui ont pris place comme figure paternelle, qui aimait ma mère et qui m'a offert le plus beau des cadeaux, ma sœur Larah, âgée du même âge que moi. Cette organisation était une grande banque, je pense même nationale. Il était le comptable de la boîte. Peu à peu, il a remarqué que de l'argent disparaissait et il l'a fait constater auprès de son patron. Trois jours plus tard, il s'est retrouvé sans emploi et attaqué en justice pour vol. Encore une fois, la justice ne fit pas correctement son travail et notre père finit par faire de la prison. Il criait son innocence, prenait avocat sur avocat afin qu'on puisse l'entendre, mais rien. L'avocat de la banque trouvait toujours le moyen de donner raison à son employeur et sans autre preuve que sa parole notre pauvre père finirait ses jours en prison.

Du coup, on a sorti notre arme et nous avons commencé par hacker les ordinateurs de la banque, tous les comptes, toutes les personnes qui travaillaient là étaient vues à la loupe par nos petits doigts qui pénétraient dans leur ordinateur à la recherche du moindre petit indice qui pourrait faire entendre les paroles de notre père. Pendant des jours et des nuits entières, nous avons hacké tout ce qu'on pouvait afin de réunir toutes les preuves nécessaires. Au bout du compte, nos recherches ont abouti et enfin, avec des preuves en mains, l'avocat de notre père a pu prouver son innocence et il fut libéré. Seulement le mal avait été fait et nous étions obligées de changer de ville. La vie, là-bas, était devenue insupportable tant pour nos parents que pour nous-mêmes. Hélas, le pire était à venir, une nuit, j'ai entendu un bruit, c'était très fort. Je me suis levée avant d'aller trouver Larah et nous sommes descendues ! Ce fut l'horreur, notre père s'était suicidé. Il était harcelé partout et bien qu'on effaçait chaque jour ces immondices, le lendemain, c'était pire. Il n'en pouvait plus alors il a fait la seule chose qu'il pensait être la meilleure, il s'est pendu. J'ai vu le visage de ma mère en larmes écroulée au sol. Larah a appelé la police et moi j'essayais tant bien que mal de soulager le chagrin de maman. Cette image est à jamais restée gravée dans ma mémoire. Suite à cela, quelques mois plus tard, on a déménagé dans une autre ville.

C'est ainsi qu'un jour nous avons repris notre arme enfin pas définitivement bien sur mais quand une personne en avait besoin ! Nous étions les juges de ceux qui, comme notre père, ne pouvaient pas se faire entendre parce qu'un riche pouvait se permettre d'acheter sa défense. Nous étions aussi les avocates de ceux qui ne pouvaient pas en avoir, les bourreaux parce que toutes ces personnes qui se croient meilleures que nous, pauvres petits agneaux qui n'ont pas le portefeuille assez grand pour se faire entendre. Nous étions là pour eux quand ils en avait besoin. Entre tant nous avons repris nos étude aussi, Larah a continué dans le domaine de la police mais moi, je me suis diriger vers l'aide au personne et puisque j'avais des compétence en informatique on m'a proposé de devenir Opératrice au centre d'appel  du 911, au début c'était accompagner que je travail au fil du temps j'ai appris les ficelle du métier, puis je me suis lancer toute seule et maintenant que j'ai trouvé ma voix, j'ai mit de coté le hackins et j'aide comme je peux au centre des opération du 911.

Sur le net on me connaît sous le pseudo Kimbell ou Rose Blanche. J'ai arrêter de conter mes bougie a mes 20 ans et je fais du RP depuis pas mal de temps. Je réponds en des que je le peux, cela peut allez très vite toute comme prendre quelques temps. J'ai découvert le forum grâce à au Membre du staff. Et voilà ce que je pense du forum pour le moment Le forum est coll. Un dernier mot ? Tout est bien