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Caitlyn Walker - La Lois
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Date d'inscription : 20/05/2024
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Caitlyn Walker
Caitlyn Walker
Lun 20 Mai - 10:18


Caitlyn Walker


Identité

Je m'appelle Caitlyn Walker, j'ai 34 ans, je suis né.e le 15/04/1994 à Indianapolis, Indiana, États-Unis. Je suis célibataire et je préfère les hommes . Je fais le travail de Profileuse pour la police et je fais partie de La Lois. Il parait que je ressemble à Poppy Montgomery.
Caractère

Caitlyn Walker est une figure douce et aimable, dont la présence attire naturellement la sympathie des autres. Profondément généreuse, elle ne ménage aucun effort pour apporter son soutien à ceux qui en ont besoin, que ce soit aux plus démunis ou à ses proches en difficulté. Pour Caitlyn, l'amitié est sacrée, et elle se montre toujours présente pour ses amis, prête à partager leurs joies comme leurs peines.

Elle se distingue également par sa capacité à prendre soin de son apparence sans jamais en faire trop, témoignant d'une élégance naturelle et d'un sens du style subtil. Cependant, malgré sa gentillesse apparente, Caitlyn est également dotée d'une sensibilité profonde qui peut parfois la pousser à se replier sur elle-même face aux difficultés ou aux situations nouvelles, en raison de son hyperthymésie, une mémoire autobiographique très détaillée.

Malgré cela, elle fait preuve d'un courage admirable pour surmonter les obstacles qui se dressent sur son chemin. Caitlyn est une rêveuse dans l'âme, avec une imagination débordante qui lui permet de s'évader dans un monde imaginaire pour échapper aux réalités parfois brutales de la vie quotidienne. Dans le cadre professionnel, elle se distingue par sa vive intelligence, sa patience et son acuité intellectuelle. Sa persévérance et sa détermination, combinées à sa compassion naturelle, font d'elle une collaboratrice précieuse et appréciée.

En amour, Caitlyn rêve d'une relation sincère et durable, cherchant un partenaire digne de sa confiance et prêt à fonder une famille. Une fois qu'elle aura trouvé l'élu de son cœur, elle se montrera pleine d'égards et d'attentions envers lui, faisant preuve d'une fidélité exemplaire et n'ayant d'yeux que pour lui.

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Biographie

Je m'appelle Caitlyn Walker. Seules quelques personnes dans le monde ont la capacité de se souvenir de tout - j'en fais partie. Choisissez n'importe quel jour de ma vie et je pourrai vous dire ce que j'ai vu ou entendu : des visages, des conversations, des indices ; ce qui est pratique quand on travaille comme profileur dans la police. Si je manque quelque chose la première fois, je peux revenir en arrière et regarder à nouveau… Ma vie est inoubliable.

En quelque sorte, c'est un atout, cette capacité est d'une part une maladie dont je souffre. C'est l'hyperthymie, une maladie rare qui me donne la capacité de me souvenir de tout ce que j'ai vu ou entendu. C'est très utile dans mon métier, mais cette maladie me complique aussi un peu la vie parce que je me souviens aussi bien des bons moments que des mauvais, comme le meurtre de ma petite sœur alors qu'elle était à peine âgée de 10 ans.

C'était un jour d'été, nous jouions devant la maison quand maman m'a appelée, c'était habituel. Pourtant, avant d'entrer, j'ai remarqué quelque chose et je voulais rester avec ma petite sœur parce que j'avais une drôle de sensation. Ce que j'avais vu ne m'inspirait pas confiance, mais maman a insisté et j'ai donc laissé ma petite sœur-là et je suis entrée dans la maison pour rejoindre ma mère. Comme toujours, elle m'appelait pour apporter une collation à Julia, comme à chaque fois. Je ne suis partie que quelques secondes, j'ai quitté ma sœur des yeux quelques secondes et quand je suis retournée au jardin, elle n'était plus là, et ce que j'avais vu avait disparu. Je ne savais pas encore que je souffrais de cette maladie, même si mes parents trouvaient bizarre que j'aie réponse à tout, que je puisse détailler des choses que j'avais vues bien longtemps avant, des discussions que j'avais entendues, et plus de trucs étranges encore. Même après mon petit accident, je pouvais encore dire avec exactitude quel temps il faisait et comment cela s'était passé. C'était étrange, mais c'était ma réalité, une réalité qui a changé pour toujours après ce jour-là.

J'ai crié après maman, j'étais en larmes et je m'en voulais. J'ai expliqué que j'avais vu quelque chose et que je pouvais peut-être aider, mais on ne m'a pas écouté. Peut-être parce que je n'avais que 13 ans, ou peut-être parce que maman était trop bouleversée. La police est venue, maman a appelé papa, il travaillait, mais il a tout lâché et il est accouru.

L'arrivée de la police et de Papa a ajouté une tension supplémentaire à la situation déjà stressante. C'était comme si le monde s'effondrait autour de nous, et moi, impuissante, je me suis sentie écrasée par le poids de la culpabilité et du chagrin.

Et alors que tous ces souvenirs tournoyaient dans ma tête, je revoyais la scène encore et encore : ma petite sœur qui jouait, cette voiture étrange. Je pouvais la décrire sans aucun souci. J'ai attrapé un crayon, du papier, et je me suis mise à dessiner. Une fois mon dessin terminé, j'ai couru dans la pièce où se trouvaient mes parents et la police. Mais ils ne m'ont pas laissé entrer. On m'a dit que ce n'était pas l'endroit pour une petite fille, et Maman m'a ramenée dans ma chambre. Alors, j'ai donné mon dessin à maman, et je me suis mise à pleurer parce qu'on ne voulait pas de mon aide, qu'on ne voulait pas m'écouter, alors que j'étais certaine que je pouvais aider.

Bien sûr, je pouvais comprendre vu la situation. Cependant, Maman n'a pas jeté mon dessin. Elle l'a mis sur le frigo et depuis ce jour-là, l'ambiance à la maison a complètement changé. Avant, on riait, on chantait, la maison débordait de bonheur dans chacune des pièces. Maintenant, c'est froid. La chambre de Julia est souvent fermée à clef, et la nuit, j'entends maman ou papa ouvrir la porte et se retirer à l'intérieur. À travers la porte, je peux les entendre pleurer. La joie a disparu de la maison, et Papa a fini par ne plus aller au travail. Un jour, il a même perdu son emploi. Pendant ce temps, la police continuait ses recherches.

Et moi, je continuais à fusionner dans ma tête ces images, revenant à ce fameux jour, je le revivais des dizaines de fois, dessinant sur des centaines de papiers ce que je voyais. Parfois, j'écrivais même certains détails, me disant peut-être qu'un jour tout cela servirait. Je ne savais pas trop ce qui m'arrivait, mais je me battais contre tout ça, seul, parce que mes parents étaient bien trop attristés par la disparition de ma petite sœur pour voir que j'avais un problème et que j'avais aussi besoin d'eux.

Cela faisait deux ans que Julia avait disparu. C'était en soirée, la maison était calme comme à son habitude ces derniers temps. Maman s'était endormie sur le lit de ma petite sœur, Papa regardait la télé sans vraiment faire attention à ce qui tournait à l'écran. Moi, de mon côté, je continuais à rechercher des preuves du haut de mes 15 ans. J'avais fait un petit dossier avec les dessins que j'avais dessinés, les informations que j'avais pu écrire, les choses que j'avais entendues dans la rue, et le peu d'information que la police avait bien voulu partager avec mes parents. Je n'étais pas puissante, mais j'essayais de faire de mon mieux pour retrouver ma petite sœur avec les moyens que j'avais.

J'étais si concentrée dans mon travail que la sonnerie du téléphone m'a fait sursauter, et j'ai laissé tomber ce que j'avais en main avant de me lever d'un trait de ma chaise, une boule à l'estomac, me demandant si cela pouvait être une bonne nouvelle. J'ai entendu ma mère sortir de la chambre de Julia et descendre les escaliers à toute vitesse. Moi, j'ai ouvert ma porte et j'ai suivi maman. Papa a quitté son fauteuil au moment même où ma mère venait de prendre le combiné et de répondre à l'appel. Pendant qu'on parlait dans l'écouteur, je pouvais voir le visage de ma mère se décomposer. Mon père a dû comprendre parce qu'il a pris la main de ma mère, et ils ont fondu en larmes quand elle a raccroché. Elle a juste pu dire que la police avait retrouvé un cadavre, et la police nous a demandé de venir l'identifier.

Le lendemain, ils sont donc partis identifier le corps que la police avait trouvé. Moi, je suis restée à la maison, tournant en rond avec un petit peu d'espoir que ce ne soit pas Julia. Je continuais aussi à refaire le tour de ce que j'avais vu le jour de sa disparition, tout en regardant ce que j'avais noté depuis si longtemps : mes dessins, les informations récoltées, tout ce que j'avais mis dans ce dossier. Je n'avais rien oublié, tout y était. Alors pourquoi, malgré tout ça, je ne la trouvais pas ?

Quand ils sont revenus, j'ai compris que c'était ma sœur, que le corps qu'ils avaient trouvé était Julia. Je m'en suis voulu, parce que tout d'abord j'étais trop jeune, mais aussi parce que j'aurais dû insister. Pourquoi n'avais-je pas jeté mes dessins à leur visage, mon dossier, et forcé la police à regarder ? Mais je n'ai rien fait de tout ça. J'ai juste noté, dessiné et composé un dossier avec tout ce que j'avais.

On a fini par enterrer ma sœur et continuer l'enquête sur sa disparition. Les policiers venaient souvent chercher mes parents, leur posant des tonnes de questions. Une fois, ils ont même accusé mon père, mais l'accusation n'a pas tenu. Puis, un jour, un homme est venu. C'était un inspecteur, je pense un profileur. Comme les autres, il a interrogé mes parents et les gens du quartier. Mais il a fait quelque chose de différent. Il est venu me questionner. C'était la première fois depuis la disparition de Julia que quelqu'un me remarquait. Je lui ai montré mon dossier, je lui ai parlé de ce que j'avais vu, et c'était toujours aussi net, comme si j'étais revenu en arrière.

Il m'a remercié et il est parti avec mon petit dossier. Quelques semaines plus tard, il est revenu et a demandé à mes parents de me voir. Ils ont trouvé cela bizarre, j'ai même cru voir de l'accusation dans leur regard pendant un instant. Ma mère a interrogé l'inspecteur, lui demandant s'il pensait que sa fille avait quelque chose à voir avec la disparition de sa sœur. Cette question m'a profondément blessée, et je l'entends maintenant comme si c'était hier. L'inspecteur a rassuré ma mère et lui a simplement répondu qu'ils avaient un enfant spécial. J'ai encore vu le visage de ma mère changer, mais c'était teinté de curiosité et d'incompréhension.

Ma mère est venue me chercher, et on m'a fait m'asseoir dans le divan en face de l'inspecteur. C'est alors qu'il a montré à mes parents le dossier que j'avais constitué. Il leur a expliqué que tout ce qui s'y trouvait aurait pu être utilisé pour retrouver leur fille, que toutes les informations qu'il venait de trouver étaient là. Il a souligné que ce que leur fille possédait était une maladie rare appelée hyperthymésie et que c'était très difficile à gérer. Mais il a aussi mis en avant la force de Caitlyn à avoir géré cela toute seule, compilant des informations et cherchant activement des réponses dans sa quête pour retrouver sa sœur disparue.

Il a alors expliqué en quoi consistait cette maladie, précisant à mes parents que cela se traduisait par une mémoire infaillible. Cette maladie donnait à leur enfant la capacité de se souvenir de tout dans les moindres détails, que ce soit des odeurs, des couleurs, des gestes, des lieux. Tout était parfaitement détaillé dans ses souvenirs, et elle avait la possibilité de les revivre encore et encore. Cependant, cela impliquait aussi de ressentir de la douleur, car elle pouvait se remémorer les bons moments, mais aussi les mauvais, comme entendre à plusieurs reprises des mots ou des phrases blessants. Il a ajouté qu'il était important de trouver un moyen de l'aider à gérer cela, ou qu'elle devait trouver un moyen de contrôler tout cela.

Ces mots ont peut-être été la clé qui a fait prendre conscience à mes parents que leur chagrin les avait aveuglés sur le fait qu'ils avaient encore un enfant bien vivant, qui souffrait également de la perte de sa sœur. Ils m'ont alors pris dans leurs bras et ont demandé à cet homme comment il pouvait faire pour m'aider. Ce que je n'ai pas mentionné dans mon histoire, c'est qu'en plus des soucis à la maison, l'école n'était pas mieux ! On me harcelait, on se moquait de moi, et j'en passe ! En somme, ce n'était pas la joie à la maison, et ce n'était pas le bonheur à l'école. Malheureusement, je ne pourrais pas oublier tout cela. Je pourrais tout faire pour effacer ces souvenirs, mais c'était peine perdue. Avec une mémoire telle que la mienne, c'est impossible à faire disparaître, même si je le voulais. Ce n'était pas couru d'avance, mais une chose était rassurante : je savais que je n'étais pas folle et que le problème que j'avais était une maladie, et cette chose avait un nom. On sait tous que quand on trouve ce que c'est, c'est plus facile à digérer. Cela ne fera pas disparaître cette capacité, mais je suis rassurée parce que maintenant, je ne serai peut-être plus seule et on va m'aider avec ça.

Je continue à grandir avec cette maladie, et mes parents sont plus attentifs. Le meurtre de ma sœur n'est toujours pas élucidé et l'enquête continue. J'ai gardé contact avec l'inspecteur qui avait découvert ma condition. Il m'a conseillé de faire des études dans le domaine de la police, et je n'ai pas hésité une seconde à accepter. J'ai fini par aimer ça.

Au fil du temps, j'ai réussi à obtenir mon diplôme. Il faut avouer que j'avais un atout avec moi, ma mémoire : c'est facile de passer les étapes quand on se souvient de tout. Certains garçons à l'académie de police se moquaient de moi. Ils m'insultaient, et notamment, ils aimaient souvent me rappeler que je n'avais pas ma place dans la police, que c'était pour les hommes. Il y avait aussi beaucoup de jalousie suite au fait que je réussissais mieux qu'eux. Il y avait quelques femmes, les plus fortes en somme, qui réussissaient à passer outre les méchancetés des garçons. Cependant, elles étaient rares. Les autres quittaient l'école et je suppose qu'elles se dirigeaient vers d'autres idées.

Les enfants sont toujours méchants entre eux, surtout quand ils ne comprennent pas ou quand on est différent. Cela a toujours été ainsi : on n'aime pas la différence et, à chaque fois, on vous le fait payer.

J'ai finalement obtenu mon diplôme, avec quelques années d'avance par rapport aux autres, et bien sûr, cela ne plaît pas à tout le monde. Je reste souvent seule, sans m'attacher à personne. Je dois dire que c'est difficile d'avoir des amis lorsque je dois parfois gérer toutes ces émotions, ces images, tout ce que ma mémoire enregistre. Il est vrai que je pourrais laisser la porte ouverte à une amitié potentielle, voire même permettre à un garçon d'entrer dans ma vie, mais je ne me sens pas prête. Je ne veux pas qu'on m'en veuille parce que je retiens tout. J'ai peur, en somme, que si j'ouvre cette porte à l'amour, par exemple, et imaginons que nous ayons une dispute, je risque fort bien de lui en vouloir en permanence, car je revivrais continuellement ces moments. C'est cela qui me fait peur. J'ai déjà du mal avec tous ceux qui me rabaissent souvent, avec les jaloux qui pensent que je triche alors que ce n'est pas le cas. Du coup, ajouter une peine de cœur dans tout ça, ce n'est certainement pas le bienvenu.

Malgré toutes les difficultés, je continue d'avancer et je me concentre sur ma carrière dans la police. La capacité de ma mémoire m'aide beaucoup dans les enquêtes, mais cela représente toujours beaucoup de devis. C'est toujours la même rengaine, j'arrive à surpasser parfois les mêmes les plus doués, et encore une fois, ça ne plaît pas et je me retrouve à nouveau avec des collègues masculins qui n'aiment pas être surpassés par une femme. Ce qui peut provoquer des tensions au sein de l'équipe.

Je tiens bon pourtant et je continue ce que je sais faire de mieux, me concentrant uniquement sur ce que je dois faire et peux importer si on se moque de moi, ou que l'on me rabaisse, ou voir qu'on me dit encore et encore que je n'ai rien à faire là ! Je refuse de leur donner raison, je travaille plus, que ce soit le jour ou la nuit. Je cherche des moyens de m'occuper l'esprit par de la peinture, de la lecture, faire du jogging quand je ne travaille pas, une façon de trouver un équilibre. Je fais du yoga, ce qui me permet souvent de ressourcer mon esprit, même si c'est toujours un choc dans ma tête avec tout ce que je retiens. Finalement, je finis par ouvrir la porte et je découvre l'amitié. J'avoue, cela change la vie. On m'accepte comme je suis avec ma différence, je trouve même quelqu'un à qui je peux me confier, c'est génial. J'ai l'impression de revivre. 

De temps en temps, quand je ne travaille pas, je retourne voir mes parents et aussi près de l'inspecteur : celui qui m'a guidé dans cette voix, celui qui m'a écouté le premier, je lui dois beaucoup, sans lui on n'aura jamais découvert que je souffre de cette maladie. Je serais peut-être resté avec cette mémoire deviante et qui avait cette capacité de tout emmagasiner sans oublier la moindre petite miette.

C'est en leur rendant visite que j'apprends qu'ils n'ont pas de nouveaux éléments et qu'ils doivent malheureusement laisser l'enquête tomber. Il me rassure cependant que si un jour nouveau venait à apparaitre, et peu importe la durée que cela prendrait, il se permettrait de le rouvrir. Ce qui me mit un peu d'espoir face à cette nouvelle qui n'était guère rassurante. Je suis retourné chez mes parents et avec cet homme. Nous leur avons parlé de l'affaire et de ce qu'on comptait faire du dossier. j'ai encore une fois vu ma mère pleurer, mon père, toujours aussi portecteur envers ma mère, la laissé pleurer sur ses épaules. Je suis resté, l'inspercteur lui est parti et j'ai passé la nuit chez mes parents, veillant à ce qu'il ne leur arrive rien. 

Le lendemain, il s'est passé un truc que je n'aurais jamais imaginé possible. Ils m'ont rejoint dans la cuisine alors que je préparais dans la cuisine et me pris dans leur bras, oui, mon père et ma mère me serraient dans le bras. J'ai été surprise, mais ravi. Je les ai regardés dans les yeux tout en restant dans leur bras et ils m'ont murmuré : « Promets-nous que si tu as le moindre indice concernant le meurtrier de ta sœur, tu t'occuperas de son dossier. » À ses mots, j'ai failli renverser ma tasse de café, je ne savais pas quoi dire, mais j'ai souris et continué de les regarder dans leurs yeux. J'ai répondu : « Si je peux reprendre le dossier, ou si l'équipe avec laquelle je travaille peut l'avoir en mains, oui, bien sûr, mais vous devez savoir que ce ne sera pas facile. » Mon père m'a alors embrassée sur la joue avant de se diriger vers la cafetière et je pris un café. Ma mère m'a serré si fort que j'avais l'impression d'étouffer, mais en même temps, j'adorais ce câlin. Puis, elle a rejoint mon père à table et à mon tour, je l'ai rejoint et nous avons passé la journée ensemble. Ce fut une journée inoubliable. 

Puis je suis retourné en ville dans mon appartement, j'ai continué mon travail et un jour, j'ai obtenu un bon poste, j'ai même rencontré l'amour. Cela n'a pas duré, mais on s'est quitté en Bons termes, il était sympa, tout allait bien, c'était juste que ce n'était pas le bon moment pour moi. Puis j'ai démissionné et j'ai fait ma demande dans le département des sciences du comportement. Je pense que j'ai finalement trouvé ma place et que maintenant, je suis prête à ouvrir ma porte à l'amour et à l'amitié. Je dois cela à mon premier amour qui a cru en moi, même si cela n'a pas duré longtemps.

Derrière l'écran

Sur le net on me connaît sous le pseudo Rose Blanche ou Kimbell. J'ai Ne dirais rien et je fais du RP depuis pas mal de temps. Je réponds en cela depe,t de mon etat de santé. J'ai découvert le forum grâce à au membres du staff. Et voilà ce que je pense du forum pour le moment Il est genial ^^ (je peux enfin, essayer de joué un de mes personnage preféré (enfin plutot m'inspirés de cette demoiselle ^^ ) Merci beaucoup ^^ donne coeur . Un dernier mot ? C'est MON TC ^^

(c) Padsky
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Quincy Mc.Carty
Quincy Mc.Carty
Lun 20 Mai - 15:38
Bienvenue et bonne continuation pour ta fiche !
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Admin
Dim 26 Mai - 23:00


Validation


Tu es validé Caitlyn Walker, belle fiche. Tu connais la maison, va faire ta fiche de lien et rp et n'oublie de te donné un toit sur la tete.

Allez amuse toi bien !!!

(c) Padsky
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